Unser Korogocho-Projekt
Aperçu général
Survivre dans les déchets
Des cours d’eau jonchés et sales traversent les ruelles, des millions de mouches assiègent les habitations pitoyables. Les ordures brûlées sont omniprésentes. Une fumée noire constante, pleine de gaz toxiques se répand au-dessus des gourbis, des habitants du bidonville. Par ailleurs, Korogocho se traduit par « confusion, chaos, gaspillage ».
Un contexte qui est difficile mais des gens vivent de la décharge. Soi bien que ces dernières années, une micro-économie a émergé à Korogocho, avec le dépotoir pour base. Au bas de la hiérarchie se trouvent les éboueurs nomades. Nombre d’entre eux sont des enfants. De notre clinique dans la vallée de Mathare à Nairobi, une équipe part une fois par mois pour traiter les habitants du quartier de Korogocho. Trois médecins bénévoles et trente employés locaux traitent environ 400 patients un samedi par mois. En plus du soin médical libre, l’équipe réalise un travail de prévention et éducatif de santé sur place.
Survivre dans les déchets
Des cours d’eau jonchés et sales traversent les ruelles, des millions de mouches assiègent les habitations pitoyables. Les ordures brûlées sont omniprésentes. Une fumée noire constante, pleine de gaz toxiques se répand au-dessus des gourbis, des habitants du bidonville. Par ailleurs, Korogocho se traduit par « confusion, chaos, gaspillage ».
Un contexte qui est difficile mais des gens vivent de la décharge. Soi bien que ces dernières années, une micro-économie a émergé à Korogocho, avec le dépotoir pour base. Au bas de la hiérarchie se trouvent les éboueurs nomades. Nombre d’entre eux sont des enfants. De notre clinique dans la vallée de Mathare à Nairobi, une équipe part une fois par mois pour traiter les habitants du quartier de Korogocho.
Trois médecins bénévoles et trente employés locaux traitent environ 400 patients un samedi par mois. En plus du soin médical libre, l’équipe réalise un travail de prévention et éducatif de santé sur place.
Données et faits
Début : Au début de 2020, les premières heures de consultation ont eu lieu à Korogocho.
Nombre de médecins : Normalement trois médecins suisses ou allemands.
Contacts avec les patients : Environ 400 patients sont traités à Korogocho par jour.
Partenaire : Le partenaire local est l’Ayiera Initiative (AI), fondée par l’ancien joueur de foot de l’équipe nationale kenyane Hamilton Ayiera.
Structure : Une fois par mois, les médecins bénévoles et environ trente employés locaux organisent des heures de consultation à Korogocho pendant une journée dans le cadre du « Outreach ».
Problèmes de santé les plus courants : maladies chroniques (y compris le diabète, l’hypertension artérielle), maladies pulmonaires, maladies gastro-intestinales, maladies de la peau, paludisme, tuberculose, malnutrition, VIH / SIDA.
Points focaux : L’accent est mis sur le traitement médical de base vers les résidents du coin.
Début : Au début de 2020, les premières heures de consultation ont eu lieu à Korogocho.
Nombre de médecins : Normalement trois médecins suisses ou allemands.
Contacts avec les patients : Environ 400 patients sont traités à Korogocho par jour.
Partenaire : Le partenaire local est l’Ayiera Initiative (AI), fondée par l’ancien joueur de foot de l’équipe nationale kenyane Hamilton Ayiera.
Structure : Une fois par mois, les médecins bénévoles et environ trente employés locaux organisent des heures de consultation à Korogocho pendant une journée dans le cadre du « Outreach ».
Problèmes de santé les plus courants : maladies chroniques (y compris le diabète, l’hypertension artérielle), maladies pulmonaires, maladies gastro-intestinales, maladies de la peau, paludisme, tuberculose, malnutrition, VIH / SIDA.
Points focaux : L’accent est mis sur le traitement médical de base vers les résidents du coin.
Consultation
Traitement au bord de la décharge
Tôt le matin, une équipe de 30 personnes part de la vallée de Mathare à Nairobi pour notre « Outreach », à Korogocho. Deux ambulances furent remplies de matériel médical et de médicaments. Sur place, elles sont transformées en salles de traitement, improvisées. Les employés locaux, y compris des infirmières, des techniciens de laboratoire, des pharmaciens et des traducteurs travaillent main dans la main avec des médecins volontaires de « Swissdoctors ».
Une aide précieuse avec des ressources gérables
La grande pauvreté, et la vie à proximité de l’immense décharge larvée impactent les gens : diarrhée, intoxication alimentaire, asthme et maladies des vers sont récurrents. Les cicatrices témoignent des nombreuses blessures et maladies de peau que les gens ont contracté au cours de leur luttes quotidiennes pour survivre dans la décharge. Dans la clinique externe, des pansements stériles sont appliqués, des antibiotiques, des anti-inflammatoires, des vermifuges et gouttes ophtalmiques sont prescrits.
Des examens de laboratoire quand bien-même simples permettent des diagnoses importantes. Les enfants et les urgences médicales sont prioritaires dans des chambres séparées. Les cas graves sont transférés à notre clinique externe à Nairobi ou à d’autres hôpitaux. La demande est importante et elle le sera d’avantage, dans un avenir proche.
Traitement au bord de la décharge
Tôt le matin, une équipe de 30 personnes part de la vallée de Mathare à Nairobi pour notre « Outreach », à Korogocho. Deux ambulances furent remplies de matériel médical et de médicaments. Sur place, elles sont transformées en salles de traitement, improvisées. Les employés locaux, y compris des infirmières, des techniciens de laboratoire, des pharmaciens et des traducteurs travaillent main dans la main avec des médecins volontaires de « Swissdoctors ».
Une aide précieuse avec des ressources gérables
La grande pauvreté, et la vie à proximité de l’immense décharge larvée impactent les gens : diarrhée, intoxication alimentaire, asthme et maladies des vers sont récurrents. Les cicatrices témoignent des nombreuses blessures et maladies de peau que les gens ont contracté au cours de leur luttes quotidiennes pour survivre dans la décharge. Dans la clinique externe, des pansements stériles sont appliqués, des antibiotiques, des anti-inflammatoires, des vermifuges et gouttes ophtalmiques sont prescrits.
Des examens de laboratoire quand bien-même simples permettent des diagnoses importantes. Les enfants et les urgences médicales sont prioritaires dans des chambres séparées. Les cas graves sont transférés à notre clinique externe à Nairobi ou à d’autres hôpitaux. La demande est importante et elle le sera d’avantage, dans un avenir proche.
Conditions de vie
Lutte pour survivre
Sur Dondora, la seule décharge de Nairobi avec ses quatre millions d’habitants, les déchets d’environ 50 ans s’accumulent. Jour et nuit, les excavatrices relacent les ordures fumantes et déchargent des nouveaux « déchets », entourés de personnes à la recherche de quelque chose d’utile et recyclable.
Certaines familles se spécialisent dans les déchets de verre ou de plastique. Une femme ramasse des miettes dans les ordures, qu’elle vend ensuite dans des petits sacs. Innombrables personnes cherchent de la nourriture, car c’est aussi là ou finissent les débris des « gated communities », qui peuvent se permettre une collecte des ordures.
La pandémie et la guerre en Ukraine exacerbent la misère
Au pied de la décharge, l’immense quartier pauvre de Korogocho s’est établi, un fouillis de ruelles, avec des habitations en argile, tôle ondulée et autres matériaux trouvés. Des ruisseaux d’eau jonchés et sales traversent les ruelles. Le manque d’eau douce est criant, ainsi que des toilettes et un système d`égouts qui fonctionnent. Seule une fraction de quelque 200 000 habitants tirent leurs revenus d`un emploi formel, en particulier dans les zones industrielles proches.
Lutte pour survivre
Sur Dondora, la seule décharge de Nairobi avec ses quatre millions d’habitants, les déchets d’environ 50 ans s’accumulent. Jour et nuit, les excavatrices relacent les ordures fumantes et déchargent des nouveaux « déchets », entourés de personnes à la recherche de quelque chose d’utile et recyclable.
Certaines familles se spécialisent dans les déchets de verre ou de plastique. Une femme ramasse des miettes dans les ordures, qu’elle vend ensuite dans des petits sacs. Innombrables personnes cherchent de la nourriture, car c’est aussi là ou finissent les débris des « gated communities », qui peuvent se permettre une collecte des ordures.
La pandémie et la guerre en Ukraine exacerbent la misère
Au pied de la décharge, l’immense quartier pauvre de Korogocho s’est établi, un fouillis de ruelles, avec des habitations en argile, tôle ondulée et autres matériaux trouvés. Des ruisseaux d’eau jonchés et sales traversent les ruelles. Le manque d’eau douce est criant, ainsi que des toilettes et un système d`égouts qui fonctionnent. Seule une fraction de quelque 200 000 habitants tirent leurs revenus d`un emploi formel, en particulier dans les zones industrielles proches.
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